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lundi 16 septembre 2013

LES DEMONS: Il faut apprendre à les reconnaître.

        Introduction

        Cette section a pour but de vous donner une plus grande compréhension de la doctrine de la démonologie, et de donner des réponses claires aux questions suivantes :

·         Qui, ou quoi, sont les démons ?
·         Comment pouvons-nous reconnaître l’oppression démoniaque ?
·         Quelle puissance possède les démons ?
·         Que font les démons aux personnes ?
·         Comment pouvez-vous reconnaître une personne démoniaque ?
·         Comment pouvez-vous chasser des démons ?
·         Quel est le jugement réservé aux démons ?

       Le chrétien peut immédiatement devenir un maître sur les démons en recevant une claire compréhension de l’œuvre des démons et leur défaite légitime au Calvaire.
       Vous devez récapituler la section de la vie chrétienne victorieuse, pour une pleine compréhension de ce sujet. Une fois que vous comprenez très bien que les démons ne possèdent aucune puissance sur les croyants, vous n’aurez jamais plus peur des démons ou du diable.

       Chaque croyant peut avoir l’autorité sur le diable et ses démons. Etudiez le plus de choses possibles au sujet de l’autorité du croyant et exercez cette autorité par la foi dans la parole de Dieu.

Lecture biblique
        “Après cela, le seigneur désigna encore soixante-dix autres disciples, et il les envoya deux à deux devant lui dans toutes les villes et dans tous les lieux où lui-même devait aller.
        “Dans quelque ville que vous entriez, et où l’on vous recevra, manger ce qui vous sera présenté, guérissez les malades qui s’y trouveront, et dite-leur : le Royaume de Dieu s’est approché de vous’’ (Lu. 10, 8, 9).
        “Les soixante-dix revinrent avec joie, disant : Seigneur, les démons mêmes nous sont soumis en ton nom. Jésus leur dit : Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. Voici, je vous ai donné le pouvoir de marcher sur les serpents et les scorpions, et sur toute la puissance de l’ennemi ; et rien ne pourra vous nuire. Cependant, ne vous réjouissez pas de ce que les esprits vous sont soumis ; mais réjouissez-vous de ce que vos noms sont écrits dans les cieux’’ (Lu. 10 : 17-20).

         Le dernier verset (20) déclare que notre salut est un sujet de plus de joie que le fait de pouvoir chasser des démons au Nom de Jésus. L’objectif central de notre ministère n’est pas de chasser des démons, mais d’annoncer l’Evangile aux perdus.
        Mais afin de pouvoir prêcher l’Evangile d’une manière qui permettra aux auditeurs d’être sauvés, nous devons travailler dans la puissance et la démonstration de l’Esprit. (1 Co. 2 :4). Il est essentiel que nous ayons de l’autorité sur l’iniquité satanique et que nous exercions cette autorité.

         Deux puissances sont engagées dans un combat mortel pour des êtres humains. Pierre et Jean nous donnent une description.
         Pierre dit : “Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera’’ (1 Pi. 5 :8).
       Mais Jean dit aussi : “Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement. Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les œuvres du diable’’ (1 Jn. 3 :8).  Jésus nous appelle à nous joindre à lui pour détruire les œuvres du diable.
       Avant de donner une description des démons, il serait bon pour nous d’avoir une meilleure compréhension de la nature et de la personne de Satan.

A.      QUI EST SATAN ?
       Satan est le dieu de ce monde (2 Co. 4 :4). Il était le prince des nations (Mt. 4 :8, 9). Il est l’auteur de toutes nos misères et de nos tristesses, de nos maladies et de nos douleurs, de la mort même. Il est le roi et le gouverneur de tous les esprits démoniaques. Il règne sur les armées de l’enfer. Son désir principal et son dessein sont de détruire la vie humaine et d’attrister le cœur de Dieu, notre Père céleste.
        Nous pouvons mieux comprendre la personne de Satan en regardant les noms qui lui sont donnés dans la Bible :

1.       Le diable
Dans Matthieu 13 :19, il est appelé “le malin’’. Au verset 39, il est appelé “l’ennemi’’ et “le diable’’. Le mot diable signifie “accusateur’’ et “menteur’’.
2.       L’accusateur
Dans Apocalypse 12 :10, il est appelé “l’accusateur de nos frères’’.
3.       L’adversaire
Dans 1 Pierre 5 :8, il est appelé “l’adversaire’’ et il est comparé à “un lion rugissant, cherchant qui il dévorera’’.
4.       Le dragon
Dans Apocalypse 20 :2, il est décrit par un groupe de nom trop odieux à contempler : “…le dragon, le serpent ancien, qui est le diable et Satan.
5.       Le père du mensonge
Dans  Jean 8 :44, il est appelé “le père du mensonge’’.
6.       Le tentateur
Dans Matthieu 4 :3, il est appelé “le tentateur’’.
7.       Le prince des démons
Dans Matthieu 12 :24, “prince des démons’’.
8.       Le prince de la puissance de l’air
Dans Ephésiens 2 :2, “le prince de la puissance de l’air’’.
9.       Le prince de ce monde
Dans Jean 14 :30, “le prince du monde’’.
  10   Celui qui corrompt les pensées

        Nous lisons dans  2 Corinthiens 11 : 3 : “Toutefois, de même que le serpent séduisit Eve par sa ruse, je crains que vos pensées ne se détournent de la simplicité à l’égard de Christ’’.   

COMMENT ÊTRE DÉLIVRÉ DE LA DROGUE ? 3

    Tout peut redevenir normal après le sevrage La dépendance Le risque de dépendance au cannabis est moindre que pour d'autres drogues mais il est réel. Cette dépendance est surtout psychique. Elle s'établit d'autant plus rapidement que le consommateur est jeune. L'usager perd alors le contrôle de sa consommation, consomme même quand il est seul, fréquemment dès le matin et recherche un produit de plus en plus concentré. Certains sujets arrêtent le cannabis sans problèmes, d'autres deviennent dépendants. Un consommateur qui a organisé sa vie quotidienne autour du cannabis est pratiquement toujours devenu dépendant. Lorsque le consommateur devenu dépendant, bien souvent à son insu, tente d'arrêter, il ressent, au bout de 1 à 10 jours, les symptômes du manque : il devient irritable, anxieux, agressif, agité, il a du mal à s'endormir, se sent stressé et fébrile et peut ressentir un mal-être ou une dépression pendant plusieurs semaines. Certains ne ressentiront ces symptômes que plus tard, le THC stocké dans les graisses continue à agir pendant plusieurs jours ou semaines et masque le symptôme du manque.

      c) Risque d'escalade. Les relations étroites existant entre les systèmes cannabinoïdes et opioïdes endogène du cerveau et la forte potentialisation des effets analgésiques et antidépresseurs des morphines par le THC ont laissé supposer que le cannabis pourrait induire une tendance à l'escalade vers la consommation d'héroïne. Celà n'a en fait jamais été confirmé par aucune étude. L'usage du cannabis ne conduit pas systématiquement à l'héroïne ou à d'autres drogues. Il ouvre pourtant une opportunité pour les sujets en difficulté psychologique, sociale ou familiale, lorsque les consommateurs sont mis en relation avec des dealers vendant d'autres produits. Les usagers réguliers de cannabis expérimentent plus fréquemment d’autres drogues illicites : les prévalences d’expérimentation sont, selon les produits, entre 5 à 8 fois plus fortes chez eux qu’en population générale du même âge. L'expérience montre cependant que la grande majorité des utilisateurs de cannabis en restent à cette drogue sans chercher des produits plus forts.

      d) Risque social. Si le consommateur développe une image positive de lui-même, il n'en est généralement pas de même pour les personnes qui le côtoient. Les effets négatifs tels que rire sans raison, abrutissement, démotivation, sont toujours très perceptibles pour l'entourage auprès de qui le consommateur est souvent déconsidéré. Le consommateur, bien souvent, ne ressent pas les difficultés liées à sa consommation et à son comportement, il "n’a pas de problèmes", pour lui ce sont les autres, ses parents, son conjoint, ses proches qui "ont des problèmes". Ceci l'entraîne fréquemment à abandonner ses amis et à ne côtoyer que les autres consommateurs. Un usage régulier et fréquent de cannabis, de par la démotivation qu'il entraîne, conduit aussi souvent à l'échec scolaire et à des difficultés professionnelles. Dans les cas difficiles, le consommateur n'arrive pas à se tenir à une activité scolaire ou professionnelle suivie, il baisse les bras à la première difficulté, change souvent d'activité et se réfugie dans la passivité induite par sa consommation. Dans les cas extrêmes, on peut voir des jeunes, ou moins jeunes, cesser toute activité et s'abrutir à longueur de journée en fumant des joints dans leur chambre ou "scotchés" devant la télévision ou une console de jeux vidéo.
On arrive alors à des situations absolument dramatiques pour le consommateur et pour son entourage. Les autres drogues telles que la cocaïne, le lsd ou l'héroïne ont des effets plus ravageurs et créent une dépendance physique grave et entraine à la mort par overdose.

      Alors que faire contre ce fléau?
       IL faut savoir qu'il y a beaucoup de témoignages d'anciens toxicomanes qui ont réussi à se sortir de cet enfer après même avoir touché le fond, mais que de souffrances vécues. La plupart racontent à leur manière qu'ils ont sentis une présence divine, une main tendue qui était là pour leurs montrer le chemin, qu'il y avait quelque chose de plus grand, de plus fort que leur emprise diabolique. C'est là précisément que le Christ-Jésus les attendait. Le Christ vainqueur du monde, sauveur de l'humanité, par sa mort sur la croix et sa résurrection il a vaincu la mort et peut donner une vie nouvelle à chacun de nous. En lui découle toutes les grâces nécessaires aux besoins de tous les hommes quelque soit les difficultés rencontrées. C'est pourquoi si vous êtes touché de près ou de loin par la toxicomanie n'hésitez pas à faire appel à notre sauveur à qui rien n'est impossible, la prière et la foi peuvent déplacer des montagnes. Fin
Jean-Jacques 

lundi 2 septembre 2013

COMMENT ETRE DÉLIVRÉ DE LA DROGUE ? 2

      La propension à la consommation de cannabis est interprétée comme une automédication inconsciente pour atténuer les souffrances psychiques. Tous ces troubles apparaissent progressivement mais d'autant plus vite et sont d'autant plus graves que la consommation a commencé tôt et particulièrement pendant l'adolescence avant 17 ans. Cependant la plupart sont réversibles après sevrage excepté les troubles psychotiques (dont la schizophrénie).

      b) Risques physiques. A la longue, il a pour effet de durcir les vaisseaux sanguins ce qui conduit, chez les gros consommateurs, à l'infarctus et aux autres risques cardio-vasculaires similaires à ceux induits par l'hypertension. Par ailleurs, selon une étude menée par des chercheurs canadiens, un joint dégagerait 20 fois plus d’ammoniaque et 5 fois plus d’oxyde d’azote et de cyanure d’hydrogène qu'une cigarette, produits identifiés pour leurs effets néfastes sur le système immunitaire et la circulation sanguine. °La drogue contient de nombreuses autres substances dont la toxicité s'ajoute à celle du tabac associé.
°Ainsi le cannabis contient-il 4 à 5 fois plus de goudrons et de produits toxiques que le tabac, car, contrairement au tabac, il n'est pas traité pour réduire la quantité des produits les plus toxiques et il est rarement fumé avec un filtre. Selon la revue "60 millions de consommateurs" qui a effectué des tests et diffusé les résultats en mars 2006, fumer un joint fait absorber six à sept fois plus de goudrons et de monoxyde de carbonne (CO) que fumer une cigarette, ainsi que deux fois plus de benzène et trois fois plus de toluène. 
      
       Fumer trois joints tous les jours fait courir les mêmes risques de cancers ou de maladies cardiovasculaires que fumer un paquet de cigarettes par jour. Une autre étude, menée en Nouvelle Zélande et publiée début 2008, arrive à une conclusion similaire : parmi les personnes dont la consommation de cannabis est importante, le risque de cancer du poumon serait 5,7 fois plus élevé que chez les autres. Fumer un seul joint présenterait ainsi un risque de cancer du poumon équivalent à la consommation de 20 cigarettes. Si ces deux études ne sont pas totalement concordantes d'un point de vue quantitatif, elles démontrent toutes deux la grande nocivité du cannabis. L'usage de cannabis induit ainsi des problèmes respiratoires (toux, bronchites chroniques, asthme) et peut conduire au cancer, plus rapidement que le tabac. Etant donné le nombre très élevé de consommateurs de cannabis chez les adolescents et les jeunes adultes à travers le monde, les chercheurs craignent la multiplication de cancers du poumon d’ici les prochaines années. Le risque maternel est similaire à celui du tabac, d'autant plus si le cannabis est consommé en joint avec le tabac : risques de grossesses extra-utérines, fausses couches et mort in-utéro plus fréquentes, prématurité et troubles de la maturité également plus fréquents, etc ...Des études récentes de l'INSERM et d'universités américaines montrent les effets délétères sur l'activité cérébrale du fœtus lors de consommation de cannabis durant la grossesse.
     Ces études démontrent que le cannabis diminue fortement l'activité cérébrale du fœtus, perturbe les capacités d'apprentissage et que ces enfants peuvent ensuite présenter un retard mental important. Il semble que des cannabinoides altèrent l'activité de diverses cellules impliquées dans la défense immunitaire de l'organisme (cellules NK notamment). Quelques auteurs pensent trouver là l'explication de la prévalence accrue de certains types de cancers chez des usagers chroniques. Outre la disparition de la libido, une consommation de quantités importantes de cannabis (4 à 20 joints quotidiennement) induit une diminution significative de la concentration du sperme en spermatozoïdes, avec augmentation du nombre de spermatozoïdes anormaux, des troubles de l'érection et une baisse sensible de la virilité. Cependant, contrairement à certaines rumeurs, le cannabis ne rend ni stérile ni impuissant.