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lundi 16 septembre 2013

COMMENT ÊTRE DÉLIVRÉ DE LA DROGUE ? 3

    Tout peut redevenir normal après le sevrage La dépendance Le risque de dépendance au cannabis est moindre que pour d'autres drogues mais il est réel. Cette dépendance est surtout psychique. Elle s'établit d'autant plus rapidement que le consommateur est jeune. L'usager perd alors le contrôle de sa consommation, consomme même quand il est seul, fréquemment dès le matin et recherche un produit de plus en plus concentré. Certains sujets arrêtent le cannabis sans problèmes, d'autres deviennent dépendants. Un consommateur qui a organisé sa vie quotidienne autour du cannabis est pratiquement toujours devenu dépendant. Lorsque le consommateur devenu dépendant, bien souvent à son insu, tente d'arrêter, il ressent, au bout de 1 à 10 jours, les symptômes du manque : il devient irritable, anxieux, agressif, agité, il a du mal à s'endormir, se sent stressé et fébrile et peut ressentir un mal-être ou une dépression pendant plusieurs semaines. Certains ne ressentiront ces symptômes que plus tard, le THC stocké dans les graisses continue à agir pendant plusieurs jours ou semaines et masque le symptôme du manque.

      c) Risque d'escalade. Les relations étroites existant entre les systèmes cannabinoïdes et opioïdes endogène du cerveau et la forte potentialisation des effets analgésiques et antidépresseurs des morphines par le THC ont laissé supposer que le cannabis pourrait induire une tendance à l'escalade vers la consommation d'héroïne. Celà n'a en fait jamais été confirmé par aucune étude. L'usage du cannabis ne conduit pas systématiquement à l'héroïne ou à d'autres drogues. Il ouvre pourtant une opportunité pour les sujets en difficulté psychologique, sociale ou familiale, lorsque les consommateurs sont mis en relation avec des dealers vendant d'autres produits. Les usagers réguliers de cannabis expérimentent plus fréquemment d’autres drogues illicites : les prévalences d’expérimentation sont, selon les produits, entre 5 à 8 fois plus fortes chez eux qu’en population générale du même âge. L'expérience montre cependant que la grande majorité des utilisateurs de cannabis en restent à cette drogue sans chercher des produits plus forts.

      d) Risque social. Si le consommateur développe une image positive de lui-même, il n'en est généralement pas de même pour les personnes qui le côtoient. Les effets négatifs tels que rire sans raison, abrutissement, démotivation, sont toujours très perceptibles pour l'entourage auprès de qui le consommateur est souvent déconsidéré. Le consommateur, bien souvent, ne ressent pas les difficultés liées à sa consommation et à son comportement, il "n’a pas de problèmes", pour lui ce sont les autres, ses parents, son conjoint, ses proches qui "ont des problèmes". Ceci l'entraîne fréquemment à abandonner ses amis et à ne côtoyer que les autres consommateurs. Un usage régulier et fréquent de cannabis, de par la démotivation qu'il entraîne, conduit aussi souvent à l'échec scolaire et à des difficultés professionnelles. Dans les cas difficiles, le consommateur n'arrive pas à se tenir à une activité scolaire ou professionnelle suivie, il baisse les bras à la première difficulté, change souvent d'activité et se réfugie dans la passivité induite par sa consommation. Dans les cas extrêmes, on peut voir des jeunes, ou moins jeunes, cesser toute activité et s'abrutir à longueur de journée en fumant des joints dans leur chambre ou "scotchés" devant la télévision ou une console de jeux vidéo.
On arrive alors à des situations absolument dramatiques pour le consommateur et pour son entourage. Les autres drogues telles que la cocaïne, le lsd ou l'héroïne ont des effets plus ravageurs et créent une dépendance physique grave et entraine à la mort par overdose.

      Alors que faire contre ce fléau?
       IL faut savoir qu'il y a beaucoup de témoignages d'anciens toxicomanes qui ont réussi à se sortir de cet enfer après même avoir touché le fond, mais que de souffrances vécues. La plupart racontent à leur manière qu'ils ont sentis une présence divine, une main tendue qui était là pour leurs montrer le chemin, qu'il y avait quelque chose de plus grand, de plus fort que leur emprise diabolique. C'est là précisément que le Christ-Jésus les attendait. Le Christ vainqueur du monde, sauveur de l'humanité, par sa mort sur la croix et sa résurrection il a vaincu la mort et peut donner une vie nouvelle à chacun de nous. En lui découle toutes les grâces nécessaires aux besoins de tous les hommes quelque soit les difficultés rencontrées. C'est pourquoi si vous êtes touché de près ou de loin par la toxicomanie n'hésitez pas à faire appel à notre sauveur à qui rien n'est impossible, la prière et la foi peuvent déplacer des montagnes. Fin
Jean-Jacques 

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